Je sais qu’il y a certains lecteurs que cela intéresse, donc je me permet de consacrer le 600 ème article de ce blog (et oui, madame !) à un petit billet technique à propos de la maintenance de notre installation WordPress.
Chacun le sait aujourd’hui : un dangereux virus profite d’une faille de sécurité dans les anciennes versions de notre moteur de blog favori, pour polluer la base de données et injecter du code (pas bien malveillant, à première vue mais désagréable malgré tout).
La faille est signalée depuis quelques jours (ici par Philippe Martin, toujours très bien informé). Mon pote Ethanol, qui nous raconte la fin du monde sur WordPress depuis quelques mois, s’est vu frappé en ce funeste 11-septembre…
Les symptômes de l’infection et la marche à suivre pour se désinfecter sont décrits ici.
Mais il faut retenir que la seule protection efficace contre le virus est de migrer (si vous êtes concerné, arrêtez de lire ce post et effectuez immédiatement votre mise à jour) vers la dernière version du logiciel libre, la 2.8.4., qui semble pour l’instant à l’abri de toute infection.
Pour ma part, je traînais depuis un moment avec une vielle version, paralysé à l’idée de faire le grand saut, mais comme le disent les gens de WordPress :
Upgrading is taking your vitamins; fixing a hack is open heart surgery. (This is true of cost, as well.)
Pour notre part, nous avons pu mettre à jour la version de ce blog en moins d’une heure (y compris les backups), sans aucun incident technique, tous les plugins fonctionnels (que du bonheur !). Vous allez prochainement retrouver sur notre barre latérale les services que vous aviez l’habitude de consulter. Vos différents abonnements aux publications du blog restent inchangés ; vous n’avez aucune manipulation à effectuer, ni d’inscription à renouveler.
N’hésitez pas toutefois à nous signaler toute difficulté que vous pourriez rencontrer dans la navigation sur ce blog.