Il y a donc deux mondes qui coexistent sous le label associatif : celui des petites associations, micro-structures reposant sur le bénévolat, et celui des moyennes et grandes structures, largement professionnalisées. Ces deux mondes n’ont pas grand’chose à voir.
Le financement du secteur associatif se caractérise par un évident déséquilibre : 170.000 structures concentrent à elles seules plus de 80% du budget total du tiers secteur ; il s’agit des associations employeurs, largement professionnalisée, fonctionnant avec un effectif salarié permanent plus ou moins important.