La difficulté de tout projet-école est de dépasser sa dimension de prétexte. Pour expérimenter la création d’un structure associative, il faut parvenir à mobiliser un noyau d’adhérents au service d’une certaine cause.
L’association n’a d’utilité sociale qu’auprès des personnes qui décident de partager son but et ses valeurs. Pour cette raison, nous avons défini comme chantier prioritaire la mobilisation d’une communauté en ligne pour porter l’association et son projet.
Les moyens mis en oeuvre pour assurer la publicité du projet associatif sur internet ont été décrit dans ce billet. Nous en reparlerons.
Les abonnés au RSS du blog sont désormais une vingtaine.
Qui sont-ils ? Je dois reconnaître que je n’en sais pas grand’chose.
Quelques personnes se sont manifestées directement par mail : des pédagogues qui voulaient soutenir notre initiative, quelques webmasters de sites consacrés au covoiturage également. Il est évident que notre présence sur internet est détectée dans un premier temps par les spécialistes, ceux dont les activités touchent de près ou de loin le covoiturage. Voir pour un exemple le blog trans*i*d qui nous décerne un sympathique BL.
Fort de ce constat, je me demande s’il ne faut pas mettre l’association au service des acteurs du covoiturage en ligne en essayant d’apporter à tous des outils et des solutions. Les sites, forums, blogs et autres systèmes de publication et de mise en relation d’offres/demandes de covoiturage seraient les premiers adhérents au projet associatif. J’explore cette piste ici en proposant de réfléchir à une norme technique commune pour la diffusion et l’indexation des offres/demandes.
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